Journée très spéciale que ce jeudi 10 octobre pour le monde de la Danse. Agnès Letestu fait ses adieux sur la scène de l'ODP. Avec elle, c'est toute une génération qui s'en va. C'est ma génération modèle. J'avais 9 ans lorsqu'elle a remporté le Prix du concours Européen des jeunes danseurs, j'en avais 13 lorsqu'elle fût nommée Première danseuse. Forcément j'ai suivi son parcours et elle fût et est toujours l'une de mes danseuses préférées, incarnant la quasi perfection si ce n'est LA perfection.
C'est bien sûr elle que j'ai vu en Giselle lors de ma 1ere fois à Garnier. Suivirent bien d'autres représentations et j'ai tremblé plus d'une fois en attendant la date de ses représentations redoutant un changement de distribution (si fréquent à l'ODP).
Plus que des mots, rien ne vaut de la voir danser.
Quelques vidéos souvenirs... Et surtout merci Agnès pour tous ces moments inoubliables.

domingo, 13 de octubre de 2013
miércoles, 9 de octubre de 2013
ROB: Don Quixote de Carlos Acosta

Et bien pourquoi pas? Ai-je envie de répondre aux sceptiques. Surtout lorsque c'est Carlos Acosta qui s'y colle. Le rôle de Basile lui va comme un gant et si cela n'est bien sûr pas un gage de réussite ça laisse entrevoir quelque chose d'intéressant. En tout cas en ce qui me concerne j'étais curieuse de découvrir sa version. J'étais présente lors des représentations du 5 octobre au soir et du 6. Et je suis convaincue par cette nouvelle mouture.
Pour commencer et afin que tout le monde s'y retrouve voici un petit résumé de l'histoire qui n'a pas grand chose à voir avec celle de Cervantes:
Don Quichotte, qui lit un livre contant l'histoire d'un chevalier fini par se croire lui-même un chevalier à la recherche de sa Dulcinée. Ses aventures le mènent à Barcelone, sur une place où Kitri, la fille de l'aubergiste Lorenzo est amoureuse de Basile. Le père de Kitri s'oppose à leur union car Basile n'a pas d'argent et souhaite voir sa fille épouser Gamache, riche mais stupide et ridicule. Kitri et Basile s'enfuient et se retrouvent dans un camp de gitans. Grâce à une supercherie de Basile et l'aide de Don Quichotte qui croit reconnaître en Kitri sa Dulcinée, les 2 amoureux pourront se marier et même recevoir la bénédiction de Lorenzo.
Avant de parler des distributions et des danseurs et danseuses sur scène il faudrait d'abord voir ce que nous réserve ce Don Quichotte.
Déjà, il y a 2 heures de danse complètes. Ca fait du bien comparé à certaines versions quelque peu tronquées.
Dès le prologue, Dulcinée apparaît pour guider Don Quichotte dans sa quête chimérique allant même jusqu'à l'adouber avant que n'entre Sancho Panza. Celui-ci est poursuivi par des paysannes auxquelles il a volé une poule. Le monde de Don Quichotte et celui de Panza, bien terre à terre, s'opposent déjà mais se complètent aussi. C'est Panza qui, arrachant un pied du lit à Baldaquin de Quichotte, fabrique la lance de ce dernier et la lui offre.
Aucun temps mort n'est à déploré et c'est bien la première fois que je ne m"ennuie" pas pendant le prologue.
Le 1er acte s'ouvre sur une rue suposée être de Barcelone. Un ingénieux décor mouvant en fera tour à tour une place, l'entrée de la maison de Gamache ou une rue. L'ensemble reste très conventionnel dans la chorégraphie et avec la pantomime et les mimiques vues et revues des pseudo disputes entre Kitri et Basile. Malgré tout, c'est un véritable plaisir de suivre les aventures des tourtereaux et, après tout, c'est bien ça Don Quichotte. Je suis d'ailleurs la première à râler quand les classiques sont revisités à l'extrême. L'acte qui dure plus de 50 minutes passe à toute vitesse. La chorégraphie reste fidèle à l'esprit Petipa mais s'enrichie de quelques détails et les danseurs et danseuses parlent sur scène!
Le 2eme acte me semble être le plus intéressant dans sa forme. La scène des gitans a été bien étoffée notamment avec la présence sur scène de musiciens guitaristes flamenco (sur des thèmes de Minkus quand même!). Les "¡guapo!", "¡guapa!", "vaya otra vez!" fusent avec un petit accent british excellent. C'est une bonne idée que d'avoir introduit une scène de flamenco, d'avoir fait parler les danseurs mais pourquoi ne pas être allé jusqu'au bout? On a droit a un semblant de début de sevillana et c'est tout. C'est du classique un peu "flamencorisé" si je puis dire et c'est dommage. Les compas marqués par les mains sont approximatifs. Cela pourrait être grandement amélioré. Ceci dit, les danses gitanes traditionnelles du ballet ont été remarquablement réglées et chorégraphiées, l'orchestration est aussi réussie.
Mais avant l'arrivée des gitans, il y a le pas de deux de Kitri et Basile sur la musique que l'on retrouve dans la Bayadère. Carlos Acosta a monté une belle chorégraphie musicale et fluide. Les costumes sont bien pensés et les décors mettent en avant la dualité monde réel/monde onirique . Don Quichotte est le seul à voir le gigantesque moulin qui l'entraîne dans la tempête.
La scène du rêve a été transposée dans un jardin aux fleurs mauves immenses. Les tutus des dryades sont kitschissimes mais, curieusement, ça passe. Il faut dire que la scène est complètement surréaliste et onirique. Don Quichotte, grand rêveur même éveillé, est en train de rêver pour de vrai! Bonne idée que d'utiliser un double de Don Quichotte qui sort du corps du chevalier endormi pour rejoindre le jardin magique et sa Dulcinée.
Mais au réveil, c'est dans une taverne que Don Quichotte doit se rendre pour retrouver le couple fugitif. Là aussi le thème flamenco est repris et, à mon sens, pas assez exploité.
Quant au mariage de Basile et Kitri, c'est tout simplement un feu d'artifice dansé. Je regrette juste l'absence des dames d'honneur. Ce sont les deux amies de Kitri qui assurent mais en duo et les variations me manquent.
Le tutu de Kitri fait plus princesse que fille d'aubergiste même si on se doute qu'elle a mis sa plus belle robe pour se marier, surtout avec le diadème. C'est visuellement très joli mais inhabituel pour Don Quichotte. Elle ressemble plus à Dulcinée qu'à Kitri. Basile aussi fait très prince de conte de fées. Faut-il y voir le message comme quoi rêve et réalité peuvent se confondre? Ou peut-être que je me pose trop de questions.
Le 5 septembre Iana Salenko était Kitri et Steven McRae Basile. Leur partenariat fonctionne à merveille. La pantomime est excellente, drôle, bien jouée. Steven McRae ne correspond physiquement pas vraiment a l'idée (souvent fausse) que l'on se fait des espagnols et pourtant il colle bien avec la personalité de Basile, charmeur et séducteur à souhait et très amoureux de sa Kitri. Iana Salenko est une Kitri au caractère bien trempé qui n'a pas peur de tenir tête à son père (Christopher Saunders, très à l'aise dans son rôle) ni de ridiculiser Gamache (Thomas Whitehead qui se donne à fond). Les portés à la seconde du 1er acte sont époustouflants: s'il n'y avait aucune contrainte de temps je suis sûre qu'ils seraient encore tous les 2 sur scène à tenir le porté. Sérieusement.
L'un comme l'autre ont une technique incroyable qu'il et elle mettent au service de la Danse. Iana Salenko a tenu des équilibres interminables et ultra stables lors du pas de deux. Voilâ 2 vraies Etoiles qui savent briller sur scène et faire vivre une histoire.
Le rôle de Cupidon ou Amour était interprété le 5 au soir aussi par la toute jeune mais excellente Anna Rose O'Sullivan. Elle est vraiment parfaite dans ce rôle qui semble fait pour elle.
J'ai été en revanche moins convaincue par la reine des Dryades de Yuhui Choe sur les 2 représentations. Si elle a de très beaux bras et un haut de corps lyrique, je l'ai trouvé un peu éteinte dans sa variation.
Akane Takada est superbe en amie de Kitri. Elizabeth Harrod qui l'accompagne n'est pas en reste.
Le couple Mercedes (Itziar Mendizabal)/Espada (Valeri Hristov) fonctionne bien. Valeri Hristov donne une vision très cliché des toreador à l'heure où, à Barcelone, les corridas n'ont plus lieu d'être.
Kristen McNally et Bennet Gartside sont tout aussi excellents en couple gitan que dans le fandango final.
Beau travail d'interprétation our le Sancho Panza de Jonhattan Howells. Quant à Don Quichotte, c'est Gary Avis qui lui donne vie magistralement.
Le 6, les rôles de Kitri et Basile étaient tenus par Sarah Lamb et Frederico Bonelli. Tous deux nous ont offerts de superbes moments mais cela manquait peut-être d'un peu de vie, d'un peu de peps. J'ai trouvé Sarah Lamb bien meilleure dans la scène du rêve en Dulcinée.
Meaghan Grace Hinkis est très gracieuse en Amour mais il lui manque un peu de fantaisie.
Le corps de ballet est peut-être un peu "froid" pour Don Quichotte mais il a le potentiel pour nous donner un peu plus de cette chaleur espagnole. Il était déjà plus à l'aise le dimanche que le samedi soir. Dans l'ensemble, les alignements sont bons, les groupes synchronisés.
Il m'a semblé reconnaître Mayara Magri. En tout cas une jeune danseuse qui lui ressemble a de suite attiré mon attention.
Le ballet sera diffusé en direct dans de nombreuses salles de cinéma et aussi à Barcelone le 16 octobre.
Je ne suis pas convaincue par ces diffusions et j'en parlerai sûrement dans un autre billet mais cela peut quand même valoir le coup pour découvrir cette version et admirer Acosta et la divine Nuñez programmé-e-s ce soir-là.
miércoles, 11 de septiembre de 2013
Le Lac des Cygnes- Ballet de Cuba
Le Ballet National de Cuba est de retour en Catalogne en ce début de saison. La tournée commence par Le Lac des Cygnes au Teatre Tivoli de Barcelone. Il s'agit de la version d'Alicia Alonso, la même que j'avais découverte il y a 2 ans lors d'une précédente tournée.
Le rideau s'ouvre sur un décor champêtre. La Cour et les paysans, en liesse, célébrent l'anniversaire du Prince Siegfried (Árian Molina).
Un très beau pas de six inaugure les festivités suivi du pas du trois superbement dansé par Grettel Morejón, Jessie Dominguez et Ernesto Álvarez. Le bouffon (Alejandro Silva) n'est pas en reste.
Mais malgré l'apparente allégresse, Siegfried est préocuppé. Sa mère (l'excellente Carolina Garcia) ne cesse en effet de lui rappeler qu'il est temps pour lui de se marier et, devant son refus, celle-ci lui tourne le dos et quitte la fête. Le Prince part alors avec ses amis pour chasser, une arbalette à la main. C'est ainsi qu'ils arrivent dans la forêt, près d'un lac et qu'apparaît Odette, la princesse métamorphosée en cygne par le sorcier Rothbart. Sa seule chance de rompre ce terrible sortilège est qu'un homme lui jure un amour fidèle.
Sadaise Arenciaba est une Odette-oiseau sauvage. C'est une façon intéressante d'aborder le rôle mais je l'ai trouvé peut-être un peu trop froide.
Árian Molina quant à lui, assure parfaitement le rôle du jeune Prince fougueux qui jure un peu tôt et à ses risques et périls son amour éternel à Odette. Il est d'ailleurs terriblement distrait lors du bal donné en son honneur et où toutes les princesses alentours sont venues, espérant se "caser" avec lui. Peine perdue. Ni la tarentelle endiablée, ni la danse espagnole (mention spéciale à Viengsay Valdés et José Losada ), ni le caractère des danses slaves n'arrivent à le sortir de sa torpeur. Quand tout à coup tout disparaît et entrent Robarth et Odile, sa fille venue usurper l'identité d'Odette auprès du Prince.
Sadaise Arenciaba a campé une Odile perfide, sûre d'elle, machiavélique. Elle a un sourire doux pour Siegfried mais d'une perfidie terrible dès qu'elle croise le regard de Robarth et du public. Bien sûr, Siegfried tombe dans le piège et réitére ses voeux d'amour éternel à la fausse Odette malgré les mises en garde de sa mère. Odile et Robarth triomphent et dévoilent la supercherie laissant le Prince anéanti mais pas vaincu. Retrouvant sa chère Odette au bord du lac, il se bat contre Robarth et le tue, libérant Odette du sortilège ainsi que toutes les autres jeunes filles-cygnes.
C'est donc une fin heureuse qu'a choisi Alicia Alonso. L'Amour qui l'emportera toujours même face aux pires épreuves.
La compagnie est toujours aussi agréable à voir, pleine d'énergie. Un bon spectacle pour se remettre dans le bain et bien commencer la rentrée.
Vous pouvez le voir jusqu'au 15 septembre. Dépêchez-vous!
Le rideau s'ouvre sur un décor champêtre. La Cour et les paysans, en liesse, célébrent l'anniversaire du Prince Siegfried (Árian Molina).
Un très beau pas de six inaugure les festivités suivi du pas du trois superbement dansé par Grettel Morejón, Jessie Dominguez et Ernesto Álvarez. Le bouffon (Alejandro Silva) n'est pas en reste.
Mais malgré l'apparente allégresse, Siegfried est préocuppé. Sa mère (l'excellente Carolina Garcia) ne cesse en effet de lui rappeler qu'il est temps pour lui de se marier et, devant son refus, celle-ci lui tourne le dos et quitte la fête. Le Prince part alors avec ses amis pour chasser, une arbalette à la main. C'est ainsi qu'ils arrivent dans la forêt, près d'un lac et qu'apparaît Odette, la princesse métamorphosée en cygne par le sorcier Rothbart. Sa seule chance de rompre ce terrible sortilège est qu'un homme lui jure un amour fidèle.
Sadaise Arenciaba est une Odette-oiseau sauvage. C'est une façon intéressante d'aborder le rôle mais je l'ai trouvé peut-être un peu trop froide.
Árian Molina quant à lui, assure parfaitement le rôle du jeune Prince fougueux qui jure un peu tôt et à ses risques et périls son amour éternel à Odette. Il est d'ailleurs terriblement distrait lors du bal donné en son honneur et où toutes les princesses alentours sont venues, espérant se "caser" avec lui. Peine perdue. Ni la tarentelle endiablée, ni la danse espagnole (mention spéciale à Viengsay Valdés et José Losada ), ni le caractère des danses slaves n'arrivent à le sortir de sa torpeur. Quand tout à coup tout disparaît et entrent Robarth et Odile, sa fille venue usurper l'identité d'Odette auprès du Prince.
Sadaise Arenciaba a campé une Odile perfide, sûre d'elle, machiavélique. Elle a un sourire doux pour Siegfried mais d'une perfidie terrible dès qu'elle croise le regard de Robarth et du public. Bien sûr, Siegfried tombe dans le piège et réitére ses voeux d'amour éternel à la fausse Odette malgré les mises en garde de sa mère. Odile et Robarth triomphent et dévoilent la supercherie laissant le Prince anéanti mais pas vaincu. Retrouvant sa chère Odette au bord du lac, il se bat contre Robarth et le tue, libérant Odette du sortilège ainsi que toutes les autres jeunes filles-cygnes.
C'est donc une fin heureuse qu'a choisi Alicia Alonso. L'Amour qui l'emportera toujours même face aux pires épreuves.
La compagnie est toujours aussi agréable à voir, pleine d'énergie. Un bon spectacle pour se remettre dans le bain et bien commencer la rentrée.
Vous pouvez le voir jusqu'au 15 septembre. Dépêchez-vous!
viernes, 5 de julio de 2013
ODP: Concours d'entrée dans le corps de ballet
Le suspens est fini. Les résultats du concours d'entrée du corps de ballet de l'Opéra de Paris sont tombés.
Hier c'était le concours interne, celui réservé au élèves de 1ere division (dernière année d'étude) de l'Ecole de Danse de l'Opéra de Paris. Aujourd'hui, les recalé-e-s de la veille ainsi que les danseurs ne venant pas de l'Ecole ont pu tenter leur chance lors du concours externe.
6 postes étaient proposés filles et garçons, concours interne et externe confondus. C'est peu! Et pourtant vu le peu de postes disponibles certaines années cela pouvait sembler limite beaucoup.
Voici le classement du concours interne (merci Dansomanie)
Dames :
1. Ida Viikinkoski Engagée
2. Roxane Stojanov Engagée
3. Clémence Gross Engagée
4. Marion Gautier de Charnacé
5. Eugénie Drion
6. Anaïs Kovacsik
Messieurs
1. Pablo Legasa Engagé
2. Antoine Kirscher Engagé
3. Marin Delavaud
4. Julien Guillemard
5. Simon Le Borgne
6. Mathieu Rouaux
Félicitations aux heureux et heureuses élu-e-s! C'est amplement mérité. Mais félicitations aux autres aussi. Etre arrivé jusqu'à la 1ere division de cette prestigieuse école est déjà une belle réussite. Et puis il n'y a pas qu'à l'ODP qu'on danse et qu'on danse bien. Le monde est vaste!
Ce sont donc 5 postes qui ont été attribués pour le concours interne ce qui implique logiquement qu'il ne reste qu'un seul poste vacant pour le concours externe. Au final, 2 postes seront finalement attribués à 2 jeunes danseuses déjà bien connu du public: Camille de Bellefon et Hannah O'Neill.
La première vient du CNSMDP et fût l'une des "héroines" du documentaire Un jour je serai danseuse. Elle était déjà surnuméraire à l'ODP et venait de rentrer dans le corps de ballet du Ballet de Vienne dirigé par Manuel Legris.
Hannah O´Neill a, quant à elle, remporter brillamment le Prix de Lausanne 2009 et était elle aussi surnuméraire à l'ODP.
Preuve que la persévérance paie!
Les résultats et classement du concours externe (toujours sur Dansomanie):
Dames :
01. Hannah O'Neill engagée
02. Camille de Bellefon engagée
03. Ambre Chiarcosso
04. Eugénie Drion
05. Sofia Rosolini
06. Victoire Debay
07. Calista Ruat
08. Chloé Réveillon
09. Marion Gautier de Charnacé
10. Alizée Sicre
11. Mélissa Patriache
12. Anaïs Kovacsik
Messieurs :
01. Mathieu Rouaux
02. Philippe Solano
03. Loïck Pireaux
04. Mike Derrua
05. Julien Guillemard
06. Marin Delavaud
07. Niccolo Balossini
08. David Auboin-Tehio
09. Simon Leborgne
10. Stefano De Angelis
11. Thomas Bieszka
12. Axel Alvarez
Je suis heureuse de retrouver au classement Calista Ruat qui est une bien belle danseuse. Eugénie Drion, classée 2 fois laisse présager le meilleur. J'imagine qu'elle va refaire une année à Nanterre.
Chez les garçons on note la 2eme place de Philippe Solano, finaliste de l'émission la Nouvelle Danse sur W9 mais aussi un temps corps de ballet du Barcelona Ballet. Bravo! Dommage qu'il n'y ait pas eu de poste pour les garçons.
Au final ce seront donc 2 garçons et 5 filles engagés. Il me semble que cela faisait longtemps que l'on n'avait pas vu autant de filles engagées lors de ces concours. C'est la dure réalité de la Danse.
Hier c'était le concours interne, celui réservé au élèves de 1ere division (dernière année d'étude) de l'Ecole de Danse de l'Opéra de Paris. Aujourd'hui, les recalé-e-s de la veille ainsi que les danseurs ne venant pas de l'Ecole ont pu tenter leur chance lors du concours externe.
6 postes étaient proposés filles et garçons, concours interne et externe confondus. C'est peu! Et pourtant vu le peu de postes disponibles certaines années cela pouvait sembler limite beaucoup.
Voici le classement du concours interne (merci Dansomanie)
Dames :
1. Ida Viikinkoski Engagée
2. Roxane Stojanov Engagée
3. Clémence Gross Engagée
4. Marion Gautier de Charnacé
5. Eugénie Drion
6. Anaïs Kovacsik
Messieurs
1. Pablo Legasa Engagé
2. Antoine Kirscher Engagé
3. Marin Delavaud
4. Julien Guillemard
5. Simon Le Borgne
6. Mathieu Rouaux
Félicitations aux heureux et heureuses élu-e-s! C'est amplement mérité. Mais félicitations aux autres aussi. Etre arrivé jusqu'à la 1ere division de cette prestigieuse école est déjà une belle réussite. Et puis il n'y a pas qu'à l'ODP qu'on danse et qu'on danse bien. Le monde est vaste!
Ce sont donc 5 postes qui ont été attribués pour le concours interne ce qui implique logiquement qu'il ne reste qu'un seul poste vacant pour le concours externe. Au final, 2 postes seront finalement attribués à 2 jeunes danseuses déjà bien connu du public: Camille de Bellefon et Hannah O'Neill.
La première vient du CNSMDP et fût l'une des "héroines" du documentaire Un jour je serai danseuse. Elle était déjà surnuméraire à l'ODP et venait de rentrer dans le corps de ballet du Ballet de Vienne dirigé par Manuel Legris.
Hannah O´Neill a, quant à elle, remporter brillamment le Prix de Lausanne 2009 et était elle aussi surnuméraire à l'ODP.
Preuve que la persévérance paie!
Les résultats et classement du concours externe (toujours sur Dansomanie):
Dames :
01. Hannah O'Neill engagée
02. Camille de Bellefon engagée
03. Ambre Chiarcosso
04. Eugénie Drion
05. Sofia Rosolini
06. Victoire Debay
07. Calista Ruat
08. Chloé Réveillon
09. Marion Gautier de Charnacé
10. Alizée Sicre
11. Mélissa Patriache
12. Anaïs Kovacsik
Messieurs :
01. Mathieu Rouaux
02. Philippe Solano
03. Loïck Pireaux
04. Mike Derrua
05. Julien Guillemard
06. Marin Delavaud
07. Niccolo Balossini
08. David Auboin-Tehio
09. Simon Leborgne
10. Stefano De Angelis
11. Thomas Bieszka
12. Axel Alvarez
Je suis heureuse de retrouver au classement Calista Ruat qui est une bien belle danseuse. Eugénie Drion, classée 2 fois laisse présager le meilleur. J'imagine qu'elle va refaire une année à Nanterre.
Chez les garçons on note la 2eme place de Philippe Solano, finaliste de l'émission la Nouvelle Danse sur W9 mais aussi un temps corps de ballet du Barcelona Ballet. Bravo! Dommage qu'il n'y ait pas eu de poste pour les garçons.
Au final ce seront donc 2 garçons et 5 filles engagés. Il me semble que cela faisait longtemps que l'on n'avait pas vu autant de filles engagées lors de ces concours. C'est la dure réalité de la Danse.
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miércoles, 19 de junio de 2013
Aeternum- Los Vivancos

Ces 7 frères danseurs-musiciens flamencos, classiques, rock savent mélanger les styles et s'allier le public. Il faut dire que tout est brillamment maîtrisé et, si ces 7 virtuoses n'hésitent pas à jouer sur le coté "sexy boys" ce n'est pas pour occulter une quelconque faille technique ou artistique. Au contraire, c'est la cerise sur le gâteau, le petit plus à une prestation d'un niveau époustouflant. Le CV des protagonistes a en effet de quoi faire pâlir d'envie pas mal de monde: Institut du Teatre de Barcelone, Conservatoire Royal de Madrid, ballet des jeunes d'Europe de Jean-Charle Gil, Scottish Ballet, compagnie de Joaquin Cortès, Ballet Espagnol Rafael Aguilar, entre autres. En 2007, ils décident de se réunir pour créer leur propre compagnie et depuis lors n'arrêtent pas d'enchaîner les succès auprès du public.
Leur nouveau spectacle, Aeternum, est donné en ce moment au Teatre Tivoli de Barcelone. En collaboration avec l'Orchestre de Budapest, le "show" présente un mélange de danse et musique enregistrée et live avec la présence sur scène de 7 musiciennes hongroises sans oublier les performances musicales des Vivancos en personne. Si le décor est assez sobre (une structure métallique mobile), les effets de lumière transforment la scène en moins d'une seconde selon les besoins et l'effet est particulièrement saisissant.
Le tout début du spectacle m'a un peu surprise avec ces 7 silhouettes perchées sur une structure métallique rendue invisible par les éclairages. J'ai redouté un spectacle mystico-philo-religieux à la sauce rock durant quelques secondes et puis les 7 silhouettes sont sorties de l'ombre laissant apparaître les interprètes. Si je n'ai pas vraiment goûté à l'histoire un peu trop manichéenne du combat entre le Bien et le Mal des premiers instants j'ai en revanche de suite accroché à la richesse de la chorégraphie et à la pureté de l'exécution.
Je n'aurai jamais pensé non plus à travailler mon écart facial en jouant du violoncelle.
Les passages en groupe, soli, duos s'enchaînent avec une énergie vertigineuse présentant à chaque fois une dynamique et un style différents. Chaque danseur est à l'écoute de l'autre. On sent qu'une complicité les unie. Du rock au flamenco traditionnel en passant par Albeníz et autres classiques, les Vivancos marient tous les styles pour offrir une nouvelle vision du flamenco et de la danse et nous entraîner dans un univers fait de virtuosité, de diversité, de sensualité et de rêve.

A noter également l'investissement des Vivancos pour PROTECT, une ONG qui lutte contre la pédophilie au Cambodge et en Colombie. Une partie du prix des entrée de la Première sera reversée à l'organisation. Ce n'est pas si courant et c'est d'autant plus remarquable.
domingo, 9 de junio de 2013
III Certamen de Danza Ciutat de Barcelona
Nous sommes le 12 mai 2013 vers 11h30. Une longue file s'étend déjà depuis le Teatre Francesca Bonnemaison. C'est la finale du III Certamen de Danza qui regroupe des épreuves de danse classique, danse espagnole et danse contemporaine. Dans une trentaine de minutes, de jeunes danseurs et danseuses de 12 à 22 ans venu-e-s d'Espagne mais aussi d'Italie, de France, du Brésil et de République Dominicaine vont tenter de décrocher l'une des nombreuses bourses offertes par des écoles et compagnies aussi prestigieuse que le Peridance Capezio Center à New York, Le Ballet Nacional de España, la CND, l'Ecole Supérieure de Danse de Cannes, le CDC, entre autres.
Ce concours est donc une réelle opportunité pour ces jeunes et l'on ne peut que souligner la volonté de sa créatrice et organisatrice Georgina Rigola, surtout connaissant la situation actuelle de la Cuture et de la Danse (toujours considérée comme la 5eme roue du carrosse). On imagine bien les difficultés et les obstacles qui jalonnent une telle entreprise. Ou même j'aurais plutôt tendance à dire qu'on n'a même pas envie d'imaginer ces obstacles tant ils doivent être lourds et nombreux et on ne peut être qu'admiratif devant la détermination et le travail de Georgina Rigola et son équipe pour que nous puissions être là aujourd'hui à voir évoluer ces jeunes sur scène et recevoir un sérieux coup de pouce à leur formation.
Le niveau général est plutôt bon, voire très bon dans toutes les catégories et surtout en danse espagnole. Je n'ai pas retenu les noms de tous les participants mais nombre d'entre eux mériteraient d'être cités même s'ils n'ont rien gagné.
Ce sont les classiques A, les plus jeunes, qui commencent. La 1ere concurrente à entrer en scène est Mariona Carrasco, élève du CDC et qui m'avait déjà fait une forte impression à Noël dans Casse-Noisette . Elle a interprété une belle variation de facture neo classique et montré qu'elle est toujours aussi lumineuse sur scène.
Mariona Puente, aussi issue du CDC comme plusieurs autres finalistes, remporte un 3eme prix avec une variation aux pures lignes classiques.
Excellente prestation également de Mar Escoda Llorens qui remporte d'ailleurs le 2eme prix de cette catégorie. Belle technique, belle présence scénique, maitrise parfaite de la variation, elle n'est sûrement pas passée loin du 1er prix ex aequo.
1er prix remporté en l'occurrence par la toute aussi excellente, Maria Alexandra Urcia qui a déclenché une fois de plus une véritable ovation du public avec sa variation de La Fille Mal Gardée parfaitement exécutée.
Chez les plus "âgé-e-s" j'ai beaucoup aimé l'Arlequinade d'Hava Hudry, venue de Paris pour participer au concours. C'était techniquement très bien dansé et "joué" juste ce qu'il faut (le coté sur-joué de cette variation qu'adopte beaucoup de danseuses me donnant des boutons). Bravo! 2eme prix largement mérité.
Sa compatriote Florie Leclecq-Dory n'a pas déméritée dans sa valse des bleuets toute en légèreté et poésie.
Carolina Grisolia et Bruna Perez, 2 jeunes brésiliennes, se démarquent nettement de la compétition avec des variations de styles différents l'une de l'autre mais mettant chacune en valeur leur interprète.
Pol Orrit Bórras montre lui aussi de belles qualités et remporte un 2eme prix ex aequo.
La dernière catégorie classique nous a offert de très beaux moments. Je retiens notamment Laura Da Costa, française, qui est une très belle Kitri et j'ai bien aimé qu'elle choisisse la variation du 1er acte, l'entrée de Kitri. Ca change de la sempiternelle variation du mariage.
Ada González a choisi la sublime et si difficile variation du Grand Pas Classique d'Auber. Bravo pour ce choix!
Gemma Espinosa a opté pour un style un peu plus néoclassique qui lui va comme un gant.
Nous avons aussi pu voir le pas de deux de Don Quichotte brillament enlevé par 2 jeunes italiens Virginia Gruzza et Giacomo Cussigh.
A noter aussi les prestations de Clara Maroto Ramos et Marina Sánchez Sarroche chacune très engagée et sûre d'elle dans leur variation.
En contemporain aussi les concurrents nous ont donné à voir de très belles choses. Comme par exemple les performances d'Isidre Alexandre Gelabert, Enrique López Flores, Axe Peña, Maria Fernanda Urcia, Berta Fornell, Nuria Martin, Rina Murakami. Il y a eu des choix audacieux comme celui d'un groupe de filles mélangeant danse et récitation théâtrale.
Peu de candidat-e-s et groupes en lice pour la danse espagnole mais quels candidat-e-s! Tout est juste, précis, maitrisé jusqu'au bout des castagnettes. Un régal!
Pol Jimenez Sánchez est sensationnel, sa danse est de toute beauté. Maria Martín est sublime tout comme Leticia Cabezudo Sánchez dont j'ai beaucoup aimé le choix musical de sa variation. Il y avait aussi 2 autres candidates dont je n'ai malheureusement pas retenu les noms mais qui, selon moi, auraient mérité de figurer au palmares.
Les 2 groupes présents ont également excellé.
Après une telle démonstration de talent il ne reste plus qu'à espérer que nos politiques prennent enfin conscience de la nécessité d'aider et de promouvoir des concours comme celui-ci et logiquement, d'aider les compagnies à s'installer, à se développer et à engager ces jeunes talents. Combien de fois faudra-t-il répéter que la culture n'est pas un luxe, un caprice futile mais qu'elle est nécessaire parce qu'elle nous nourri et nous enrichi et que la Danse est parti intégrante de la Culture, notre Culture?
Palmarès du concours:
Classique A:
1 Maria Alexandra Urcia Nunura (Espagne)
2 Mar Escoda Llorens (Espagne)
3 Mariona Puente Quera (Espagne)
Classique B:
1 Carolina Grisolia (Brésil)
2 Hava Hudry (France)
2 bis Pol Orrit Borrás (Espagne)
3 Bruna Pérez (Brésil)
Classique C:
1 Clara Maroto Ramos (Espagne)
2 Giacomo Cussigh y Virginia Gruzza (Italie)
3 Marina Sánchez Sarroche (Espagne)
Contemporain B:
1 Enrique López Flores (Espagne)
2 Berta Fornell Serrat (Espagne)
3 Isidre Alexandre Gilabert (Espagne)
Contemporain C:
1 Nuria Martín Fandos (Espagne)
2 non attribué
3 Axe Sebatián Pena (République Dominicaine)
4 Rina Murakami (Espagne)
Espagnol B:
1 Pol Jiménez Sánchez (Espagne)
2 María Martín (Espagne)
Espagnol C:
1 Leticia Cabezudo Sánchez (Espagne)
Groupes:
(Espagne) 1 Yaiza de los Muros, Miranda Alfonso Fernández, María Parra Molano
http://dansacat.org/actualitat/1/2020/
www.certamenciutatdebarcelona.es/en/
Ce concours est donc une réelle opportunité pour ces jeunes et l'on ne peut que souligner la volonté de sa créatrice et organisatrice Georgina Rigola, surtout connaissant la situation actuelle de la Cuture et de la Danse (toujours considérée comme la 5eme roue du carrosse). On imagine bien les difficultés et les obstacles qui jalonnent une telle entreprise. Ou même j'aurais plutôt tendance à dire qu'on n'a même pas envie d'imaginer ces obstacles tant ils doivent être lourds et nombreux et on ne peut être qu'admiratif devant la détermination et le travail de Georgina Rigola et son équipe pour que nous puissions être là aujourd'hui à voir évoluer ces jeunes sur scène et recevoir un sérieux coup de pouce à leur formation.
Le niveau général est plutôt bon, voire très bon dans toutes les catégories et surtout en danse espagnole. Je n'ai pas retenu les noms de tous les participants mais nombre d'entre eux mériteraient d'être cités même s'ils n'ont rien gagné.
Ce sont les classiques A, les plus jeunes, qui commencent. La 1ere concurrente à entrer en scène est Mariona Carrasco, élève du CDC et qui m'avait déjà fait une forte impression à Noël dans Casse-Noisette . Elle a interprété une belle variation de facture neo classique et montré qu'elle est toujours aussi lumineuse sur scène.
Mariona Puente, aussi issue du CDC comme plusieurs autres finalistes, remporte un 3eme prix avec une variation aux pures lignes classiques.
Excellente prestation également de Mar Escoda Llorens qui remporte d'ailleurs le 2eme prix de cette catégorie. Belle technique, belle présence scénique, maitrise parfaite de la variation, elle n'est sûrement pas passée loin du 1er prix ex aequo.
1er prix remporté en l'occurrence par la toute aussi excellente, Maria Alexandra Urcia qui a déclenché une fois de plus une véritable ovation du public avec sa variation de La Fille Mal Gardée parfaitement exécutée.
Chez les plus "âgé-e-s" j'ai beaucoup aimé l'Arlequinade d'Hava Hudry, venue de Paris pour participer au concours. C'était techniquement très bien dansé et "joué" juste ce qu'il faut (le coté sur-joué de cette variation qu'adopte beaucoup de danseuses me donnant des boutons). Bravo! 2eme prix largement mérité.
Sa compatriote Florie Leclecq-Dory n'a pas déméritée dans sa valse des bleuets toute en légèreté et poésie.
Carolina Grisolia et Bruna Perez, 2 jeunes brésiliennes, se démarquent nettement de la compétition avec des variations de styles différents l'une de l'autre mais mettant chacune en valeur leur interprète.
Pol Orrit Bórras montre lui aussi de belles qualités et remporte un 2eme prix ex aequo.
La dernière catégorie classique nous a offert de très beaux moments. Je retiens notamment Laura Da Costa, française, qui est une très belle Kitri et j'ai bien aimé qu'elle choisisse la variation du 1er acte, l'entrée de Kitri. Ca change de la sempiternelle variation du mariage.
Ada González a choisi la sublime et si difficile variation du Grand Pas Classique d'Auber. Bravo pour ce choix!
Gemma Espinosa a opté pour un style un peu plus néoclassique qui lui va comme un gant.
Nous avons aussi pu voir le pas de deux de Don Quichotte brillament enlevé par 2 jeunes italiens Virginia Gruzza et Giacomo Cussigh.
A noter aussi les prestations de Clara Maroto Ramos et Marina Sánchez Sarroche chacune très engagée et sûre d'elle dans leur variation.
En contemporain aussi les concurrents nous ont donné à voir de très belles choses. Comme par exemple les performances d'Isidre Alexandre Gelabert, Enrique López Flores, Axe Peña, Maria Fernanda Urcia, Berta Fornell, Nuria Martin, Rina Murakami. Il y a eu des choix audacieux comme celui d'un groupe de filles mélangeant danse et récitation théâtrale.
Peu de candidat-e-s et groupes en lice pour la danse espagnole mais quels candidat-e-s! Tout est juste, précis, maitrisé jusqu'au bout des castagnettes. Un régal!
Pol Jimenez Sánchez est sensationnel, sa danse est de toute beauté. Maria Martín est sublime tout comme Leticia Cabezudo Sánchez dont j'ai beaucoup aimé le choix musical de sa variation. Il y avait aussi 2 autres candidates dont je n'ai malheureusement pas retenu les noms mais qui, selon moi, auraient mérité de figurer au palmares.
Les 2 groupes présents ont également excellé.
Après une telle démonstration de talent il ne reste plus qu'à espérer que nos politiques prennent enfin conscience de la nécessité d'aider et de promouvoir des concours comme celui-ci et logiquement, d'aider les compagnies à s'installer, à se développer et à engager ces jeunes talents. Combien de fois faudra-t-il répéter que la culture n'est pas un luxe, un caprice futile mais qu'elle est nécessaire parce qu'elle nous nourri et nous enrichi et que la Danse est parti intégrante de la Culture, notre Culture?
Palmarès du concours:
Classique A:
1 Maria Alexandra Urcia Nunura (Espagne)
2 Mar Escoda Llorens (Espagne)
3 Mariona Puente Quera (Espagne)
Classique B:
1 Carolina Grisolia (Brésil)
2 Hava Hudry (France)
2 bis Pol Orrit Borrás (Espagne)
3 Bruna Pérez (Brésil)
Classique C:
1 Clara Maroto Ramos (Espagne)
2 Giacomo Cussigh y Virginia Gruzza (Italie)
3 Marina Sánchez Sarroche (Espagne)
Contemporain B:
1 Enrique López Flores (Espagne)
2 Berta Fornell Serrat (Espagne)
3 Isidre Alexandre Gilabert (Espagne)
Contemporain C:
1 Nuria Martín Fandos (Espagne)
2 non attribué
3 Axe Sebatián Pena (République Dominicaine)
4 Rina Murakami (Espagne)
Espagnol B:
1 Pol Jiménez Sánchez (Espagne)
2 María Martín (Espagne)
Espagnol C:
1 Leticia Cabezudo Sánchez (Espagne)
Groupes:
(Espagne) 1 Yaiza de los Muros, Miranda Alfonso Fernández, María Parra Molano
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